Poursuite dans Paris - Chapitres 4,5,6 et 7 - Diego Recaj

Max et Lucie arrivent au port de l’Arsenal, et une femme leur dit qu’il y a quelqu’un qui se fait appeler le Marin et d’aller le chercher au Café de l’Écluse. Les deux amis entrent au Café et tentent de deviner qui est l’homme qu’ils cherchent. Soudain, un homme entre et le patron lui dit : « Bonjour, le Marin ». Max et Lucie s’approche de lui et après d'avoir parlé avec lui, ils lui donnent l’enveloppe. Mais quand Max parle des services secrets l’homme se met à rire. Lucie s’empare de l’enveloppe et dit à Max de courir.  

Ils montent dans un taxi et décident d’ouvrir l’enveloppe. A l’intérieur il y a une feuille blanche avec des indications. Il y a aussi des noms : « Molière, Proust, Wilde et Morrison ». Soudain le chauffer commence à dire les dates de naissance et mort de ces personnes. Elles se correspondent avec les numéros du papier. Le chauffer dit aussi qu’ils sont enterrés à Paris, au cimetière du Père-Lachaise. Alors, les rectangles du papier représentent des tombes, les flèches indiquent les directions à prendre et les chiffres écrits sur les flèches signifient le nombre de pas à parcourir.

Le taxi arrive au Père-Lachaise et le chauffer leur donne un plan du cimetière. Lucie va s’occuper de Morrison et Molière, et Max de Proust et Wilde. Lucie va à la tombe de Morrison, marche en comptant le nombre de pas indiqué et arrive à la tombe de Petrucciani. Elle fait la même chose avec Molière et arrive à la tombe de La Fontaine. Max arrive aux tombes de Zavatta et Delacroix. Max pense que les chiffres entre parenthèses indiquent les positions de quelques lettres, et trouve les lettres F, A, I, P. Il forme des mots avec ces lettres. Piaf est le nom d’une chanteuse enterré au Père-Lachaise. Ils trouvent sa tombe et découvrent une peinture d’un tableau.

Les hommes en blouson arrivent et dissent qu’ils sont inspecteurs de police. Ils expliquent que le tableau que Max et Lucie ont trouvé a été volé, et que l’homme à l’enveloppe, Tino, et le Marin sont trafiquants d’œuvres d’art. Les deux amis racontent son histoire et comme les autres affirment ne pas leur connaître, la police leur dit qu’ils peuvent partir.