jueves, 15 de junio de 2017

POURSITE DANS PARIS- CHAPITRES 4-7 Sofía Alcalde 3C

Max et Lucie arrivent au port de l’Arsenal. Ils demandent à les gens pour le Marin mais comme ils question est trop vague personne ne leur répond. Une dame dit qu’il y a bien quelqu’un qui se fait appeler le Marin par ici et elle dit où ils peuvent trouver le Marin. Ils vont au café L’Ecluse. Ils ont soif et faim et ils demandent quelque chose. Pendant ils observent chaque table pour voir qui pourrait être le marin. Un homme entre dans le café comme un marin et s’asseoir à une table près d’une fenêtre. Ils parlent avec le Marin sur Monsieur Tino, Max donne au Marin dans le sac l’enveloppe. A Lucie pense que est étrange son attitude et elle prend l’enveloppe. Max et Lucie courent et prennent  un taxi.
Ils sont dans le taxi, finalement Max ouverture l’enveloppe. Ils trouvent à papier avec unes signes et quatre noms. Ils ne savent où aller. Ils découvrent le signifient de les noms et le chauffeur dit de aller où ils sont enterrés les quatre personnes célèbres. Le cimetière Père-Lachaise.
Max et Lucie arrivent au le cimetière. Le chauffeur leur dit qu’est gratuit et il donne à carde de l’cimetière. Ils  glissent dans le cimetière, dans l’intérieur ils décident  de chercher les tombes séparément. Lucie : Morrison et Molière, Max : Proust et Wilde et ils rendez-vous en 20 minutes. Ils vont to de tombes des numéros (du papier) à musicien, à poétiste, à clown et à peintre. Ils devinent le signifient et obtiennent  « PIAF » un écrêter. Ils vont à lui tombe et ils voir un papier entre les fleurs. Unes hommes en blouson pointent leur pistole dans leur direction.
Deux hommes leur demandent quel sont et leur emmènent au office. Les deux hommes en blouson son de les services secrets français et Monsieur Tino et le Marin sont unes voleurs. Ila leur demander ses versions de l’histoire et Max et Lucie match. Ils remercièrent leur intervention parce qu’ils sont allés plus vite dans l’investigation de le tableau vole.     


1 comentario:

Pepe Mas dijo...

Tu as fait des progrès, Sofía, mais tu fais des fautes incompréhensibles...