jueves, 8 de junio de 2017

Izarbe chavarría Chapitres 4,5,6,7 Poursuite Dans Paris

Max et Lucie arrivent au port de l’Arsenal et ils interrogent plusieur personnes. Ils se dirigent ensuite vers le canal Saint-Martin. Ils posent de nouveau la question et un jeune homme leur dit des information á propos d'un marin. Ils se dirigent vers le café que l’homme a dit et s’installent á une table. Une femme leur prendre la commande pendant qu'ils regardent les clients, quand un homme de petite taille entre dans le café et le patron  l’appelle «Marin ». Max et Lucie parle avec  lui et Max commence à raconter l’histoire et lui donne l’enveloppe, mais Lucie ne pas lui faire confiance, alors elle attrape le sac du Marin et le vide par terre, ils sortent et prennent un taxi.

Dans le taxi, pendant ils parlent de le Marin, ils lui disent a le chauffeur « tout droit » quand il leurs demande : où voulez-vous aller? Max décide ouvrir l’enveloppe, et á l’intérieur il y a une feuille blanche avec d’étranges indications. Il y a des numéros écrits et derrière quatre noms : Molière, Proust, Oscar Wilde, Jim Morrison. Le chauffeur et il leur dit d’aller a Père-Lachaise, qu’est un cimetière de Paris, et leur aider avec les numéros de l’enveloppe.

Ils arrivent à le cimetière et descendre le taxi. Max et Lucie se faufiler entre les grilles ouvertes du cimetière et se cacher derrière la première tombe. Lucie va à la tombe de Morrison et Molière, et Max va à la tombe de Proust et Wilde. Finalement ils déchiffré les numéros, que les menant à la tombe de Edith Piaf, où ils trouvent une toile, mais une voix lui répond : Les mains en l’air, ne bougez plus!


Ils se retournent, deux hommes en blouson pointent leur pistolet dans leur direction, ce sont ceux qui les suivent depuis le parc de Buttes-Chaumont. Max leur dit qu’ils travaillent pour les services secrets français, et les hommes éclatent de rire. Ils leurs  dit que Monsieur Tino et le Marin sont de la brigade criminelle. Quand ils arrivent a le Quai de Orfèvres, il leur dit qu’ils ont volé L’angélus, peint par Millet, et que sans Max et Lucie, ils n’aurions peut-être jamais retrouvé le tableau. Alors l’inspecteur leur demande : pourquoi ils ont pris tous ces risques ? Lucie dit qu’elle croit que Max voulait l’impressionner, et Max dit que c’est elle qui disaient qu’il faisait trop beau pour aller au cinéma.

1 comentario:

Pepe Mas dijo...

Izarbe, il faut conjuguer les verbes!!!