Poursuite dans Paris, Chapitres 1-7 - Meritxell Barberán 3ºA

 Un bonne jour de juin, Max et Lucie ont rendez-vous à deux heures dans un parc. Ils sont deux jeunes garçons. Cet aprés-midi, ils vont aller au cinéma. Lucie est en retard, c'est pourquoi que Max la téléphone. Elle ne reponde pas. Alors, un homme trés peculiere s'approche à Max. Il croit qu'il est un acteur! Ensuite, l'homme parle de la guitare, Tino, quatre heures et services secrets. Aprés, l'homme donne à Max une enveloppe. Cinq minutes aprés, deux hommes en blouson arrivent et lui interroguent mais Max leur raconte que l'homme est parti. Il décide de jeter l'enveloppe dans la poubelle parce-qu'il croit que c'est dangereux. Finalment, Lucie arrive à trois heures moins le quart et ensamble ils vont à la police.

 

Lucie ne veut donner pas l'enveloppe à la policie mais pas Max. Aprés, ils decident de chercher Monsieur Tino. Ils se rappelent des mots que l'homme mysterieux a dit: Argentine c'est le nom d'une station de métro! Alors, ils rencontrent des turistes spagnoles dans le metro et ils pensent qu'ils sont dangereux mais ce n'est pas vrai.

 Quand ils arrivent à l'estacion Argentine ils écoutent quelqu'un qui joue la guitarre et ils vont lui parler parce que guitarre c'etait une autre mot. Surprisenment, le musicien ne prends pas l'enveloppe. Les hommes en blouson arrivent et ils essayent d'attraper Lucie et Max mais ils s'enfuyent. Mr. Tino dit qu'ils doivent aller dans le port de l'Arsenal. Aprés, Lucie et Max prennent le métro pour echapper aux deux hommes et dejá dans le métro ils parlent d'ouvrir l'enveloppe mais ils pensent que c'est trop dangereux. Pour connaitre l'adress du port Lucie interrogue les gens dans le métro. Elle parle aven une vieille damme qui y a travaillé. Quand ils laissent la rame ils regardent les deux hommes et ils se cachen dans une photomaton.

Max et Lucie arrivent au port de l'Arsenal. Ils interrogent plusieurs personnes pour demander s'ils connaissent quelqu'un qui "s'appelle" le Marin. Finalement, un homme leur raconte qu'il y a une personne qui est souvent au Café de l'Écluse, peut être celui qu'ils cherchent. Quand ils arrivent dans le café ils trouvent cet homme. Ils lui dissent que Monsieur Tino à un message pour lui et lui donnent l'enveloppe. Max lui dit qu'il est très content pour aider les services secrets français et le Marin se met à rire. Max et Lucie se rendent compte qu'il n'est pas l'homme qu'ils cherchent, attrapent son sac avec l'enveloppe et sortent le café en courant.

Les deux amis prennent un taxi mais ils ne savent bien où aller. Ils décident d'ouvrir l'enveloppe. Ils trouvent une sorte de carte avec quatre noms de fameux morts, beaucoup de chiffres et flèches. Souvent, le chauffeur leur donne une idée: il y a un lieu où ils peuvent trouver tout le quatre, le cimetière du Père-Lachaise. Ils demandent le chauffeur d'aller le plus vite possible.

Quand ils arrivent, le chauffeur dit que c'est gratuit et il leur donne le plan de le cimetière, mais il y a un problème: le gardien les arrête parce que c'est l'heure de fermeture. Max et Lucie profitent que le téléphone du gardien sonne pour rentrer. Ils se dépêchent pour trouver les tombes de la carte. Finalement, chacun de leur côté trouve deux tombes et se rencontrent pour trouver la clé des chiffres écrites dans la carte.  Soudain, Max a une idée: ce sont peut-être les positions d'une lettre. Ils essaient de former des mots avec ces lettres et ils trouvent le mot Piaf. Vite, ils courent en direction de la tombe d'Edith Piaf mais, soudain, un voix d'homme lui crie "les mains en l'air".

Deux hommes en blouson pointent Max et Lucie avec un pistolet. Le plus grand des deux hommes montre à Max sa carte d'inspecteur de police et aprés ils sont portés à la Crim (siège de la police judiciaire à Paris). Ils sont interrogués et ils doivent raconter pourquoi ils avaient un tableau. Ils racontent toute l'historie parce que la police pense que Max et Lucie sont trafiquants mais, finalement, la police leur explique que l'homme à l'enveloppe, monsieur Tino et le Marin sont les vrais trafiquants.