miércoles, 7 de junio de 2017

CHAPITRES 4-7- ÁNGELA AGUARELES


Max et Lucie arrivent au port de l’Arsenal, en cherchant le Marin. Personne ne leur peut aider parce que la question qu’ils posent est trop vague, mais ils ne savent pas que “Marin, port et écluse”; c’est tout que le Monsieur Tino leur a dit.

Quelqu’un leur dit d’aller au Café de l’Ecluse. Ils s’y dirigent, ils entrent et s’installent dans une table. Max et Lucie regardent tous les clients du café en attendant leur commande. Tout d’ un coup, le Marin entre dans le café, et nos deux amis lui donnent l’enveloppe. Quand Max lui parle des services secrets, il commence à rire, donc Lucie lui enlève l’enveloppe. Tous les deux sortent du café en courant.

Ils prennent un taxi, et ils disent au chauffeur: “tout droit!”. Soudain, Lucie a une idée: qu’ils ouvrent l’enveloppe dans le taxi. Ils l’ouvrent, et ils trouvent dedans une feuille de papier avec des indications et quatre noms inscrits: Molière, Proust, Wilde et Morrison. Les deux amis ne trouvent pas aucune relation entre ces noms, mais le chauffeur leur dit que tous les quatre sont enterrés au cimetière du Père-Lachaise. C’est alors qu’ils décident d’y aller.

Ils arrivent au cimetière et le chauffeur leur donne un plan qu’un des ses clients a oublié dans le taxi. Max et Lucie se glissent dans le cimetière quand le gardien va répondre le téléphone.
Une fois qu’ils sont dedans, ils se séparent. Lucie va chercher deux des tombes, et Max les deux autres. Ils ont rendez vous en vingt minutes avec les informations qu’ils ont trouvés. Ils ont quatre lettres: F, A, I, P. Ils réfléchissent quelques instants et aprèrs, ils trouvent la solution: ces quatre lettres ensembles font le nom PIAF. Ils vont donc chercher la tombe d’ Edith Piaf et, quand ils la trouvent, is s’aperçoivent d’un bouquet enveloppé dans un tissu, lequel est un tableau en fait.


À ce juste moment les deux hommes en blouson arrivent et leur dissent: ne bougez pas! Ces hommes sont agents de police, donc Max et Lucie leur racontent toute l’histoire. Ils leur croient, et leur expliquent que Monsieur Tino, le Marin et l’homme du parc aussi sont des voleurs d’ouvres d’art. Finalement, et après toute cette aventure, ils leur permettent retourner chez eux.

1 comentario:

Pepe Mas dijo...

C'est très bien, Ángela, mes compliments! juste quelques erreurs par ci par là...