POURSUITE DANS PARIS- CHAPITRES 2 ET 3- GUILLERMO ESCRIBANO 3ºB

Max raconte l’histoire à son ami Lucie. Elle, qui toujours est prête pour l’aventure, propose autre chose : trouver eux-mêmes a Tino. Max, qu’est un amateur de romans policiers, accède. Comme l’homme mystérieux lui parle de l’Argentine, ils pensent que c’est la station de métro avec le même nom. Donc ils montent en une rame qui les laisser à la station qu’ils cherchent. Quand ils arrivent, ils ne savent pas qui est Tino. Il y a trop hommes ! Mais, à ce moment, ils écoutent les notes d’une guitare. Une guitare !  Ils s’approchent le musicien. Max le tend l’enveloppe, et l’homme leur dit de le donner le enveloppe directement à Marin, qui se trouve sur le port ou à l’écluse.

Max reconnaît les deux hommes en blouson. C’est terrible ! Heureusement, un métro entre dans la station et ils montent. Les portes sont fermes, et les hommes ne peuvent pas entrer. Lucie demande a beaucoup  de gens pour le port et l’écluse de Paris jusqu’à ce qu’une  dame lui répond : elle dit que le port de l’Arsenal est entre le Seine et le canal Saint Martin, proche de la place de la Bastille. Ils prennent le RER, et descendent à Châtelet-Les Halles. Ils voient les hommes en blouson, donc ils se précipitent a l’escalier mécanique ; les hommes sont dernier. Ils entrent à un photomaton. Quand les hommes se vont, ils se dirigent a la ligne numéro 1, direction château de Vicennes.