jueves, 18 de abril de 2019

Diego Recaj - Rédaction Intouchables


5. Analysez la phrase suivante d’Olivier Nakache, un des deux réalisateurs : Et puis il y a eu aussi ces journées vraiment à part qui débutaient le matin dans une cité à Bondy et se terminaient dans les hôtels particuliers des beaux quartiers parisiens.

Intouchables est un film qui parle des différences sociales et économiques, et je pense que cette phrase met ça en lumière. Depuis le premier moment du film on peut voir ces différences. C’est quand Driss arrive à la maison de Philippe qu’on se rende compte qu’il est sans le sou. Mais ce n’est pas qu’une différence d’argent : il s’agit d’une différence culturelle et de style de vie.
Après avoir vu l’hôtel particulier de Philippe, on sait qu’une seule de ses chambres est plus grand que l’HLM où Driss habite avec sa famille. Le style de vie de Driss est très pauvre, et on voit ça en beaucoup de choses différentes. Pour lui, la maison de Philippe est une folie qu’il n’a cru voir que dans des films. Il y a, puis, des moments où on découvre toutes ces différences de culture, comme par exemple quand Philippe dépense tout cet argent au tableau d’art abstrait, ou le soir dans l’opéra, chose que Driss n’aurait jamais imaginé.
La chose la plus belle de ce film c’est que c'est un vrai reflet d’une société réelle, et il ne faut que relire la phrase pour découvrir ça. Au tournage du film, les réalisateurs ont vu les différences sociales de Paris ; entre les cités de Bondy et les beaux quartiers parisiens. C’est pourquoi le film est une fidèle représentation de la vie réelle de la société, qui semble être uni mais pourtant présente des grandes différences ; justement comme Philippe et Driss : deux modèles de vie éloignés qui ne peuvent  pas être plus proches.

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